Le Tardigrade Neptunien - Un fractal dans l'espace

Évidemment, ça n'existe pas dans le vrai monde un "Tardigrade Neptunien". C'est une création de mon imaginaire, ma première création entièrement mathématique qui n'a nécessité aucune sculpture en mode manuel.

Aucune intelligence artificielle n'a été utilisée pour la création, que des formules mathématiques d'un fractal de type Mandala que j'ai arrangé comme je le voulais et animé ensuite. 

On peut y voir ce qu'on veut. Certaines personnes pourraient imaginer une entité supérieure quantique d'une autre dimension qui recueille les âmes des gens décédés pour les redisperser dans d'autres mondes.

J'aime beaucoup l'art abstrait et le fait de maîtriser les formules mathématiques de fractal permet de créer des choses qui nous semblent venir d'une autre planète. Pourtant, tellement de choses et de plantes sur la planète sont basées sur le fractal, à commencer par les arbres, les fougères et le choux.

Comment je perçois le concept du fractal ?

Le fractal essaie de mettre en 4 dimensions ( longueur, largeur, hauteur et temps ) le concept d'infini et ça créé des formes impressionnantes car nos dimensions ne sont pas perceptibles à l'infini par l'humain. La meilleure preuve de ça est qu'on vit dans un univers sans être capable d'en percevoir les limites lorsqu'on regarde le ciel. Si le fractal n'était pas remis en 4 dimensions par nos formules mathématiques et les contraintes diverses, il nous serait probablement invisible à notre échelle car il serait infini et nous deviendrions donc infiniment petits en comparaison. 

Le fractal fait penser au monde quantique dans lequel des lois normales de la physique ne s'appliquent plus. Il est à la fois super simple et super complexe à regarder. C'est l'achèvement d'une œuvre ultra complexe par le procédé le plus élémentaire et simple. C'est la chose qui prouve que le succès ne peut pas toujours provenir de la complexité. Parfois il nécessite la simplicité la plus pure. 

Au plaisir de vous montrer d'autres créations de ma part!

Marc-André Noiseux / 2025-03-05 · 01:12